Tous les étés, le camp de jour de Boischatel accueille près de 500 jeunes qui participent à une variété d’activités tout aussi divertissantes et amusantes les unes que les autres.
Voyez ce que signifie le saut de conformité!
Sur les principaux sites du camp de jour (Centre sportif, Domaine de la rivière et pavillon Boréal de l’école de Boischatel)
Le camp de jour dispose d’une liste de présences complète, d’une base de données (seulement au Centre sportif) et d’un cartable contenant toutes les fiches santé des participants. Les animateurs possèdent une liste de présences des enfants de leur groupe.
L'animateur reçoit une liste de présences chaque lundi matin. Cette liste de présences est valable pour toute la semaine. Si une inscription s’ajoute, le coordonnateur du camp informera le moniteur de ce changement. L'animateur prend les présences de façon systématique (en cochant sur sa liste) au début et à la fin de la journée (pour ceux et celles fréquentant le service de garde).
Les animateurs du service de garde recueillent les feuilles de présence et appellent tous les parents des enfants dont l’absence n’a pas été motivée. Si le parent mentionne que son enfant s’est bel et bien rendu sur les lieux du camp de jour ce matin-là, la direction du camp de jour applique immédiatement la procédure en cas de disparition d’enfant.
Durant les activités, les déplacements et les grands jeux, l'animateur procède à un comptage fréquent (4-5 fois par heure).
Arrivée et départ des participants
Les animateurs du service de garde prennent les présences à l’accueil du service de garde tandis que les animateurs du camp de jour les prennent à l’arrivée au camp de jour (9 h). En tout temps, chaque animateur est en mesure de savoir combien d’enfants sont présents dans son groupe.
La direction du camp de jour est informée si un participant est autorisé à partir avec une autre personne que ses parents ou son tuteur légal. Le coordonnateur ira donc en aviser l'animateur le plus tôt possible afin d’éviter toute confusion. En l’absence d’autorisation écrite, l'animateur ne doit pas laisser partir l’enfant (voir la procédure de départ des enfants avec délégation de responsabilité parentale).
En cas de doute quant à une autorisation de départ, le coordonnateur du camp de jour appelle les parents afin de leur demander une autorisation écrite. Si un participant manque à l’appel, le camp de jour municipal applique le plan d’urgence approprié.
En autobus
Un premier animateur entre dans l’autobus et dirige le groupe pendant qu’un deuxième animateur compte les participants au fur et à mesure qu’ils entrent dans l’autobus. Le responsable de terrain prend les présences avant le départ de l’autobus. Le moniteur prend également les présences lors du départ du site de l’activité vers le camp de jour.
La même procédure est appliquée à la sortie de l’autobus.
Sorties
La procédure pour la prise de présence en autobus s’applique.
Le animateur procède à un comptage fréquent (4-5 fois par heure) lors des activités pour s’assurer que tous les jeunes sont présents. L'animateur connaît en tout temps le nombre d’enfants sous sa responsabilité.
Si un participant manque à l’appel, l'animateur applique les mesures d’urgence en vigueur au camp de jour (voir la procédure de mesure d'urgence en cas de disparition d’enfant lors d’une sortie).
Baignade
Lors de la baignade, les animateurs doivent se baigner avec les enfants afin d’assurer un encadrement de qualité et de proximité.
Plusieurs techniques de prise de présences et de comptage rapide sont disponibles dans le cahier de planification des animateurs. Ces derniers peuvent donc y avoir accès très facilement.
Pour plus de détails concernant la sécurité à la piscine (voir la procédure de sécurité à la baignade).
Afin d’assurer un encadrement de qualité et la sécurité des participants lorsqu'ils quittent le camp de jour, la direction a mis en place la procédure suivante.
Si le parent ou le tuteur légal d’un enfant est dans l’impossibilité de venir chercher son enfant au camp de jour, il doit remettre une autorisation écrite à l’équipe de coordination sur laquelle il inscrit :
- le nom de la personne responsable de venir chercher son enfant,
- le nom de l’enfant et
- la date à laquelle il est indisponible pour se rendre au camp de jour.
Toute information transmise oralement, soit en personne ou par téléphone, ne sera pas prise en considération. La direction du camp de jour empêchera un participant de quitter les lieux du camp de jour avec une personne non autorisée par le parent ou le tuteur légal.
Si la personne non autorisée décide tout de même de quitter le camp de jour avec l’enfant, le coordonnateur du camp avisera les autorités policières. Si une personne non autorisée sur la fiche santé, mais qui est autorisée par le parent de manière écrite vient chercher un enfant au service de garde, il doit signer la feuille de présence avant de quitter (voir le responsable du service de garde pour la signature).
Afin d’éviter toute mésentente ou tout conflit, il est préférable d’indiquer préalablement le nom des personnes autorisées à venir chercher l’enfant directement sur la fiche santé de l'enfant lors de l’inscription.
Prendre note qu’une pièce d’identité peut être exigée par l’équipe de coordination du camp de jour.
Adresse courriel du camp de jour : campdejour@boischatel.net
Adresse courriel du service de garde : absencecampdejour@boischatel.net
Le camp de jour de Boischatel met en oeuvre une série de règles et de procédures visant à assurer la sécurité lors des déplacements. Cette politique est communiquée à l’ensemble du personnel responsable de son application dans le cadre des activités requérant des déplacements.
Rôles et responsabilités lors des déplacements
Personnel de direction et de coordination : Ils sont responsables de planifier la logistique des différents types de déplacements requis dans le cadre des activités du camp de jour, ainsi que de communiquer les règles et procédures de la présente politique au personnel d’animation et d’en assurer l’application.
Personnel d’animation : Il est responsable du contrôle des présences et de l’encadrement des participants en toute sécurité et dans le plaisir, tout comme d’assurer le bon déroulement des déplacements qu’impliquent les activités du camp de jour par l’application des règles et procédures de la présente politique.
Règles de sécurité et procédures
Note : Pour tout problème, changement ou retard relatif aux déplacements, l'animateur doit immédiatement aviser la direction/coordination du camp de jour. Lorsque l’enfant quitte les terrains municipaux, il doit porter son foulard identifié au camp de jour.
Déplacement à pied
Note : La direction du camp de jour évalue les risques des différents itinéraires possibles afin de se rendre à une destination choisie.
Les participants marchent calmement en rang de deux par deux sur le trottoir ou une piste cyclable; en l’absence de trottoir ou de piste cyclable, ils se déplacent sur le bord de la rue en sens contraire de la circulation.
Un animateur se place toujours devant le groupe (chef de file) et marche à reculons pour exercer une supervision du groupe; il poste un deuxième animateur ou un assistant-animateur derrière (serre-file). Il attend les retardataires afin de garder les participants regroupés. Idéalement, le moniteur chante une chanson avec son groupe.
Procédure de traversée d'une rue
Les participants traversent, calmement et sans courir, à une intersection où il y a un feu de circulation, une traverse de piéton ou un arrêt (dans la mesure du possible). Un animateur attend que la circulation soit terminée et va se placer dans le milieu de la rue avec un panneau d’arrêt et donne le signal au groupe de traverser la rue.
Autobus
Procédure d’embarquement : Les participants attendent en groupe à l’écart que l’autobus soit complètement immobilisé avant de s’approcher. L’embarquement pour se rendre au Domaine de la rivière ou à l’école et sur les lieux des sorties se fait dans le stationnement du Centre sportif. L’autobus peut contenir un maximum de 72 passagers.
Un animateur compte les participants à mesure qu’ils montent dans le véhicule et monte à bord seulement lorsque son groupe est à l’intérieur. Un autre animateur monte dans l’autobus avant les enfants afin d’aller se placer au fond du véhicule.
Pendant le transport : Les participants demeurent assis, mains et tête à l’intérieur du véhicule, jusqu’à destination. Ils repèrent les sorties de secours et n’obstruent pas l’allée et les sorties. Les animateurs s’assoient à plusieurs endroits distincts dans l’autobus afin de pouvoir assurer une surveillance complète. Ils s’assurent que les participants conservent un ton de voix acceptable et qu’ils respectent les règles données par le chauffeur. Chaque jeune en accompagnement dispose de deux bancs réservés à l’avant de l’autobus. Il monte et descend de l’autobus en premier.
Procédure de débarquement : Les participants demeurent assis à l’intérieur jusqu’à ce que l’autobus soit complètement immobilisé. Un animateur fait descendre les jeunes de l’autobus. Une fois dehors, les jeunes se regroupent avec leur animateur respectif.
En vélo (groupe des ados)
Les jeunes désirant participer à la randonnée en vélo doivent :
- porter le casque protecteur de façon sécuritaire;
- avoir des espadrilles ou autres souliers adéquats (par de sandales ni de Crocs);
- avoir un vélo en bonne condition;
- avoir l'autorisation écrite de leurs parents/tuteur.
Avant de partir en randonnée, l'animateur vérifie les casques et les vélos des participants afin de s’assurer que le tout est sécuritaire.
Lors de la randonnée :
- un animateur se place derrière les participants et un autre se place devant;
- si le animateur est seul, il se place à côté des participants afin d’avoir une vue d’ensemble sur le groupe;
- les participants traversent la rue seulement lorsque l'animateur l’indique;
- les participants respectent les règles dictées par l'animateur.
En taxi (groupe des ados)
S’il y a plus d’un taxi utilisé, il doit y avoir un animateur ou un assistant-animateur dans chaque taxi.
Lors du trajet, il faut :
- garder les bras et la tête à l’intérieur du taxi;
- boucler sa ceinture de sécurité;
- conserver un ton de voix acceptable (ne pas crier);
- payer le chauffeur de taxi lors du débarquement.
Si l’un des deux taxis arrive avant l’autre, les jeunes et l'animateur du premier taxi doivent attendre ceux du deuxième avant d’entrer sur le site de l’activité.
Sur les principaux sites du camp de jour (Centre sportif, Domaine de la rivière et pavillon Boréal de l'école de Boischatel)
Afin de s’assurer d’avoir un plan d’intervention efficace en cas de disparition d’enfant, le camp de jour de Boischatel dispose d’une mesure d’urgence simple et efficace (environ 15 minutes).
Si l'animateur s’aperçoit qu’il lui manque un enfant, il doit :
- Rester calme et sécuriser les participants.
- Regrouper les enfants de son groupe et recompter une autre fois afin de s’assurer qu’il ne s’agit pas d’une simple erreur.
- Investiguer les alentours. Il se peut que l’enfant soit tout simplement allé à la toilette ou qu’il ait vu quelque chose qui l’intéressait un peu plus loin (4-5 minutes). Le responsable de terrain doit immédiatement être prévenu de la situation. Si un point de ralliement a été préalablement établi, l'animateur peut confier son groupe à un autre animateur et se rendre au point de ralliement afin de voir si le jeune ne s’y trouverait pas. Pendant ce temps, le personnel disponible (assistants, responsable) se disperse et cherche sur le site.
- Si le jeune demeure introuvable, il faut immédiatement appeler l'adjoint-coordonnateur du camp de jour qui préviendra la direction du camp de jour et du service des loisirs et de la culture de Boischatel (2-3 minutes).
- La direction du camp de jour ou du service des loisirs et de la culture contactera la Sûreté du Québec afin d’entreprendre des recherches. Elle contactera également les parents de l’enfant.
L'animateur ne doit jamais appeler les parents et la police, ceci relève de la responsabilité de la direction du camp de jour.
Lors d'une sortie
Afin de s’assurer d’avoir un plan d’intervention efficace en cas de disparition d’enfant sur un terrain n’appartenant pas à la Municipalité de Boischatel, le camp de jour dispose d’une mesure d’urgence simple et efficace (environ 25-30 minutes).
Si l'animateur s’aperçoit qu’il lui manque un enfant, il doit :
- Rester calme et sécuriser les participants.
- Regrouper les enfants de son groupe et recompter une autre fois afin de s’assurer qu’il ne s’agit pas d’une simple erreur.
- Investiguer les alentours. Il se peut que l’enfant soit tout simplement allé à la toilette ou qu’il ait vu quelque chose qui l’intéressait un peu plus loin (4-5 minutes). Le responsable de terrain doit immédiatement être prévenu de la situation. Si un point de ralliement a été préalablement établi, l'animateur peut confier son groupe à un autre animateur et se rendre au point de ralliement afin de voir si le jeune ne s’y trouverait pas. Pendant ce temps, les assistants-animateurs se dispersent et cherchent sur le site.
Si l’endroit où la sortie a lieu est muni d’un haut-parleur permettant de faire des annonces, le responsable de terrain se rend à la réception afin de faire une annonce (mentionner le nom de l’enfant ainsi que le point de ralliement). Les assistants-animateurs doivent se rendre aux différentes sorties du site et prévenir les employés afin qu’ils puissent contacter le camp de jour s’ils aperçoivent l’enfant (15-20 minutes).
Quoi mentionner?
- Détails sur le participant (vêtements, taille, cheveux, etc.)
- Détails sur la disparition (durée, dernier endroit où il a été vu)
- Foulard identifié au camp de jour - Si le jeune demeure introuvable, il faut immédiatement appeler l'adjoint-coordonnateur du camp de jour qui préviendra la direction du camp de jour et du service des loisirs et de la culture de Boischatel (2-3 minutes).
- La direction du camp de jour ou du service des loisirs et de la culture contactera la Sûreté du Québec afin d’entreprendre des recherches. Elle contactera également les parents de l’enfant.
L'animateur ne doit jamais appeler les parents et la police, ceci relève de la responsabilité de la direction du camp de jour.
Fiche santé
Lors de l'inscription de l'enfant, le parent ou tuteur légal doit obligatoirement remplir une fiche santé sur laquelle il indique toutes les particularités médicales de l'enfant. Celle-ci doit être mise à jour chaque année.
Si l'enfant développe des problèmes de santé durant la période estivale, le parent ou tuteur légal doit immédiatement en aviser le coordonnateur du camp de jour par écrit. Toutes les informations transmises par téléphone ne seront pas prises en considération. Le coordonnateur apportera ensuite les modifications nécessaires sur la fiche santé de l'enfant.
Enfant blessé
Si l'enfant est blessé, mais fréquente tout de même le camp de jour, le parent ou tuteur légal doit obligatoirement signer le formulaire de reconnaissance et d’acceptation des conditions d'accès au camp de jour pour un enfant présentant une blessure limitant ses activités régulières. De cette façon, l'enfant pourra participer à toutes les activités ne représentant aucun danger pour sa condition physique actuelle.
Administration de médicaments
Pour toute administration de médicaments de la part du personnel du camp de jour, le parent ou tuteur légal doit préalablement remplir le formulaire d’autorisation de prise d'un médicament.
L’enfant allergique qui a une dose d’adrénaline doit conserver son médicament avec lui en tout temps. Tous les autres médicaments sont rangés dans un endroit sécuritaire et accessible uniquement au personnel autorisé.
La direction du camp de jour de Boischatel demande au parent ou tuteur légal de nous communiquer tout problème susceptible de perturber le fonctionnement de l'enfant lors des activités de camp. Elle s’engage à respecter la confidentialité des renseignements fournis.
Procédure d'administration des médicaments
Sur le site principal
Aucun médicament ne peut être administré sans l'autorisation écrite écrite du parent ou tuteur légal, qui doit remplir le formulaire d'autorisation d'administration de médicament afin que l'enfant puisse avoir son médicament selon le dosage prescrit et à l'heure recommandée.
Il est de la responsabilité des animateurs de s'assurer que l'enfant a bel et bien pris son médicament. Le moniteur devra remplir et signer le Registre des traitements et médicaments chaque fois qu'un participant prend son médicament.
Les animateurs ne sont pas autorisés à fournir des médicaments en vente libre. L'équipe de coordination du camp de jour, si elle juge que la situation l'exige, peut fournir un médicament en vente libre si elle a l'autorisation écrite du parent ou tuteur légal sur la fiche santé.
Pour les enfants allergiques qui ont une dose d'adrénaline (ex : Épipen, Ana-Kit), l'animateur s'assure que l'enfant l'a toujours sur lui. Pour les enfants qui font de l'asthme et qui ont un inhalateur (ex : Ventolin), la direction du camp de jour doit évaluer le cas avec le parent ou tuteur légal pour déterminer si l'enfant doit toujours garder son médicament avec lui.
Tous les médicaments sont rangés dans un endroit sécuritaire et accessible uniquement au personnel autorisé (bureaux des responsables).
En sortie et au Domaine de la rivière
Lors des sorties à l'extérieur du site principal, le responsable du camp de jour apporte les médicaments des participants à la sortie.
Par la suite, il est de la responsabilité des animateurs de s'assurer que l'enfant a bel et bien pris son médicament. L'animateur devra remplir et signer le Registre des traitements et médicaments chaque fois qu'un participant prend son médicament.
Rôles et responsabilités de la direction
La direction du camp de jour de Boischatel connaît ses responsabilités en matière de gestion des risques. Elle forme adéquatement son personnel quant à ses rôles et responsabilités lors des baignades et des activités aquatiques.
La direction s’assure que les installations fréquentées sont conformes au Règlement sur la sécurité dans les bains publics (S-3, r.3) et au Règlement sur la qualité de l’eau des piscines (Q-2, r.39) et autres bassins artificiels, et connaît les particularités et les règlements du site d’accueil.
Mesures de prévention
Selon la Société de sauvetage, l’apprentissage de la natation est une mesure efficace pour prévenir la noyade et les accidents. Les enfants qui ne savent pas nager ou qui possèdent des habiletés de natation limitées doivent faire l’objet d’un encadrement particulier. En ce sens, la direction du camp de jour précise aux parents le type de baignade (pataugeoire, eau profonde, etc.) que vivront les participants et mentionne le lieu des baignades. De plus, elle demande aux parents d’inscrire les capacités aquatiques de l’enfant sur la fiche santé.
Le camp de jour s’engage à fournir les vestes de flottaison aux enfants qui ne savent pas nager ou qui présentent des difficultés particulières. Les enfants qui ne désirent pas nager dans la piscine peuvent se rendre dans les jeux d’eau situés à proximité.
En tout temps, l'animateur dispose des informations relatives aux capacités aquatiques des enfants de son groupe.
Le camp de jour dispose d’un système de bracelets afin d’augmenter le niveau de sécurité en milieu aquatique. Chaque lundi matin, ceux et celles ne sachant pas nager reçoivent un bracelet. Ils doivent obligatoirement le conserver durant toute la semaine. Les enfants ne sachant pas nager sont clairement identifiés sur la feuille de présence des animateurs (les animateurs du service de garde disposent d’une période hebdomadaire exclusivement allouée pour consulter les fiches santé des enfants ainsi que les listes de présences des animateurs et souligner les noms de ceux ayant besoin d’un bracelet).
Au début de l’été, la direction du camp de jour (en collaboration avec les sauveteurs) soumet les enfants à un test permettant d’évaluer leurs habiletés aquatiques. Tous les enfants n’ayant pas suivi de cours de natation ou n’ayant pas acquis le niveau Junior 4 doivent passer ce test. Afin d’être considéré comme un bon nageur, l’enfant doit être en mesure d’effectuer de manière continue (sans prendre de pause), une entrée avec culbute, maintenir la tête hors de l’eau pendant 60 secondes et traverser consécutivement la piscine à deux reprises (norme canadienne « nager pour survivre »). Si l’enfant est incapable de réussir ce test, il doit porter un bracelet et une veste de sauvetage. La direction du camp de jour prendra donc la décision finale en se fiant aux résultats du test d’habiletés.
Si l’enfant ne se présente pas aux périodes de tests préalablement établies, il sera dans l’obligation de porter une veste de sauvetage. Pour les enfants inscrits à la semaine, ils pourront se rendre à la piscine en début de semaine afin de passer le test (une période de 60 minutes sera spécialement prévue pour cela).
Ratio d'encadrement
La piscine est constamment sous la surveillance de deux sauveteurs lors des semaines de camp. Sur demande, un troisième sauveteur peut être convoqué dû à un achalandage élevé. Bien que la capacité maximale légale de notre piscine indique 140 personnes, un maximum de 80 enfants à la fois est permis dans l’enceinte de la piscine (à l’intérieur de la clôture).
Le camp de jour de Boischatel ne dispose pas de ratio d’encadrement précis lors de la baignade. Cependant, la direction s’assure de tout mettre en oeuvre afin d’assurer la sécurité des enfants lors des activités aquatiques notamment en envoyant tous les assistants-animateurs disponibles en renfort pour la surveillance de la piscine. Les animateurs et les assistants-animateurs doivent se trouver dans la piscine à proximité des jeunes afin d’assurer une rapidité d’action en cas d’incident.
Rôles et responsabilités des animateurs
La direction du camp de jour encourage les échanges entre les sauveteurs et les animateurs afin de favoriser le travail en équipe pour encadrer les participants. Les animateurs doivent être informés des particularités et de leurs rôles et responsabilités lors de l’encadrement en milieu aquatique.
- Informer les participants des règlements de l’endroit fréquenté (lors des trois premières semaines, à raison d’une fois par semaine, les animateurs et les sauveteurs communiquent les règlements de la piscine lors d’un rassemblement au Domaine de la rivière).
- Connaître le niveau de nage des participants de son groupe.
- Informer le sauveteur des moyens utilisés pour identifier les non-nageurs (bracelets).
- Informer le sauveteur des situations potentiellement problématiques dans son groupe (comportement, santé).
- Assurer une surveillance du plan d’eau (balayage visuel, comptage, etc.), au meilleur de ses connaissances et capacités.
- Collaborer avec les sauveteurs en tout temps.
- Connaître ses responsabilités en situation d’urgence.
Les animateurs connaissent et font respecter les règlements de la piscine.
- En tout temps, respecter les consignes des sauveteurs.
- Se déplacer en marchant autour de la piscine.
- Ne pas pousser, lancer ou enfoncer une personne dans l’eau.
- Les non-nageurs n’ont pas accès à la piscine.
- Ceux qui reçoivent une veste de sauvetage ont l’obligation de la porter en tout temps.
- Il est interdit de plonger dans l’eau.
- Ne pas amener d’objets de verre ou coupant sur le site ni de jouets.
- Défense de boire, manger, mâcher de la gomme et fumer.
- Les sacs à dos et les accessoires divers doivent demeurer à l’extérieur du cadre d’encadrement de la piscine.
Consignes d'encadrement
Avant l'arrivée sur les lieux de la baignade.
- L'animateur s’assure que les participants apportent leur matériel avec eux (maillot, serviette, crème solaire ou autre, à la demande des parents (bouchons d’oreilles, lunettes de nage, etc.). Les enfants se changent en tenue de baignade au Domaine de la rivière.
- L'animateur rappelle à son groupe les procédures et les règlements en vigueur à la piscine.
- Dans l’autobus, l'animateur s’assure que tous les enfants de son groupe ayant besoin d’une veste de sauvetage portent bel et bien leur bracelet.
Sur les lieux
- L'animateur s’assure que tous les jeunes sont présents.
- Les enfants allant à la piscine doivent se changer dans le bloc piscine prévu à cet effet.
- En aucun temps les participants ne doivent entrer dans le Domaine de la rivière sans la permission de leur animateur.
- Les participants déposent leur matériel à l’endroit désigné selon la rotation de plateaux.
- L'animateur et les sauveteurs distribuent les vestes de sauvetage aux non-nageurs et s’assurent qu’elles soient bien portées.
- L'animateur avise le sauveteur s’il y a des cas plus problématiques : non-nageurs, troubles de comportement, etc.
- Avec l’accord du sauveteur et du responsable du camp de jour, l'animateur autorise les participants à commencer la baignade.
- Durant l’activité, l'animateur procède à un décompte fréquent des participants de son groupe au moyen d’un balayage visuel.
- Si les animateurs sont présents en grand nombre, ils se répartissent à des endroits stratégiques et variés (partie profonde, partie peu profonde, près de la glissade, etc.).
- Les enfants qui ne désirent pas se baigner demeurent à l’extérieur du cadre de la piscine avec d’autres moniteurs et pratiquent diverses activités.
- SI UN PARTICIPANT MANQUE À L’APPEL : l'animateur avise le sauveteur sans délai.
- Si un accident survient, l'animateur ou le sauveteur avise un membre de l’équipe de coordination.
Mesures d'urgence
Lors d’activités de baignade, le sauveteur est l’autorité compétente responsable d’intervenir en cas de situation problématique et en cas d’urgence. Le personnel du camp de jour a toutefois les responsabilités suivantes :
- Faire preuve de vigilance et avertir le sauveteur en cas de problème.
- Rester calme, suivre les consignes du sauveteur et des responsables.
- Si l’évacuation de la piscine est requise, rassembler et sécuriser les autres participants à l’écart de scène.
- Avertir la direction du camp de jour.
- Si un participant est victime d’une situation requérant un transport médical d’urgence, s’assurer de communiquer à la direction les informations relatives à la destination afin qu’elles soient communiquées aux parents/tuteur. Si un responsable ou plus d’un animateur est sur place, désigner un accompagnateur pour le transport médical d’urgence. Autrement, la direction s’assure de dépêcher sur place un responsable et de joindre les parents/tuteur.
La direction du camp de jour est responsable des communications avec les services et les autorités, de la coordination des mesures subséquentes requises (communications avec les parents/tuteur et médias, rapport aux autorités concernées, etc.)
Afin de s’assurer que tous les jeunes aient une hygiène adéquate et efficace, le camp de jour de Boischatel a mis en oeuvre certaines pratiques et procédures.
Le lavage des mains
Avant chaque collation et chaque repas, l'animateur amène les jeunes de son groupe près d’un point d’eau afin qu’ils puissent se laver les mains. Des distributeurs de gel antiseptique sont également installés dans les différentes bâtisses.
L’hydratation
Afin de minimiser les risques de coup de chaleur et de déshydratation, les animateurs et les jeunes font régulièrement des pauses afin de s’hydrater. La direction du camp de jour demande hebdomadairement aux parents (via le journal du camp) de mettre une bouteille d’eau dans le sac de leur enfant. Les enfants ont accès à différents points d’eau dans chacun des bâtiments appartenant à la Municipalité de Boischatel.
La protection contre le soleil
Bien que la direction du camp de jour demande aux parents que leurs enfants arrivent déjà crémés, les animateurs doivent inclure dans leur planification quotidienne des périodes d’application de crème solaire afin de minimiser les risques de coup de soleil et de brûlures. Pour des raisons de sécurité, chaque participant applique lui-même la crème solaire.
En raison des allergies, le camp de jour ne fournit pas de crème solaire et c’est pourquoi il est demandé aux parents de mettre une bouteille de crème solaire dans le sac de leur enfant. Le participant qui n’a pas de crème solaire doit obligatoirement porter son chandail toute la journée. Comme nous avons des jeux d’eau extérieurs, l’enfant peut quand même se rafraîchir sans se baigner.
Afin que le camp de jour de Boischatel soit un milieu de vie sain et sécuritaire pour tous, la présente politique se veut un outil qui favorise le respect intégral de la personne physique et morale, et qui servira de référence en matière de prévention et d’intervention visant à contrer toutes les formes de violence, notamment les abus sexuels. Cette politique sera diffusée à l’ensemble du personnel, qui est responsable de son application.
Moyens de contrôle et procédures applicables au moment de la sélection et de l’embauche
Afin de s’assurer de l’intégrité du personnel du camp de jour, le processus de sélection exige de tout candidat :
- de signer (ou de faire signer par son parent ou tuteur légal) un formulaire de consentement à la vérification de ses antécédents judiciaires (et autres au besoin);
- de répondre à des questions ciblées, devant un comité de sélection, en lien avec son rôle et ses responsabilités en matière de problématique de la violence.
Avant d’officialiser leur statut d’employé, la direction du camp de jour de Boischatel vérifie les antécédents judiciaires des candidats et recueille leurs références.
Prévention des situations à risques
Afin de mettre en place un milieu de vie sain et sécuritaire pour tous, le camp de jour de Boischatel fait la promotion et voit à l’application d’un code de vie et de comportement. Le code de conduite vise à préserver l’intégrité des participants, du personnel et du milieu.
Code de vie et de comportement : Applicable à l’ensemble des participants, clients et membres du personnel, il prône les valeurs du respect et de la non-violence dans le langage et les gestes. Le code de vie et de comportement est présenté verbalement et par écrit aux participants, clients et membres du personnel :
- Je respecte les autres dans mes paroles et dans mes gestes.
- Je respecte les règles données par tous les animateurs/équipe de coordination du camp de jour.
- Je respecte l’environnement et le matériel mis à ma disposition.
- J’adopte une attitude positive qui prône la non-violence et la tolérance.
- J’adopte les valeurs prônées par la Municipalité de Boischatel (disponibles sous la rubrique Mission et définitions plus haut).
Procédure d’intervention
Afin de maintenir un milieu de vie sain et sécuritaire pour tous, des procédures sont mises en oeuvre et des sanctions sont prévues pour encadrer et gérer avec cohérence les interventions consécutives au non-respect des codes en vigueur.
Étapes d’intervention pour un participant
- Le jeune est retiré du groupe pour une période de 10 minutes. S’en suit une discussion entre le jeune et l'animateur (note au dossier du participant).
- Le jeune est retiré du groupe pour une période d’environ 20 minutes. Le responsable du camp de jour rencontre le jeune avec l'animateur.
- Le jeune est retiré pour une période de temps d’environ 30 minutes. L'animateur, le responsable du camp de jour et le coordonnateur adjoint rencontrent le jeune.
- Si la situation persiste, le coordonnateur du camp de jour et la direction du service des loisirs et de la culture pourront retourner le participant à la maison pour le reste de l’été et il n’y aura aucun remboursement. Chacun des cas sera traité séparément.
Étapes d’intervention pour le personnel
Dans l’application de plan d’intervention, la nature et la gravité des comportements seront prises en considération. Les comportements violents, dégradants ou sexuellement inacceptables seront particulièrement bannis. En ce sens, les mesures disciplinaires peuvent être très différentes d’un cas à l’autre (toujours dans le respect des normes du travail).
- Rencontre avec le coordonnateur du camp de jour.
- Rencontre avec le coordonnateur du camp de jour et la direction du service des loisirs et de la culture de Boischatel.
- Suspension ou renvoi, à la discrétion de l’employeur. Cela doit toujours être fait dans le respect des normes du travail.
Mesure d’urgence
Note : Peu importe le type de violence, qu’elle soit verbale ou physique, une mention sera apposée au dossier de l’enfant.
Voici les différentes mesures d’urgence prises par le camp de jour de Boischatel lorsqu’un cas de violence se produit.
Violence d’un participant envers un animateur
Violence verbale
Dans le cas où un enfant insulte verbalement et de façon violente un animateur, celui-ci doit immédiatement lui mentionner que son comportement est inacceptable. Il doit ensuite demander au jeune de se calmer et le mettre à l’écart du groupe. Si l'animateur a un assistant dans son groupe cette journée-là, il lui confie son groupe. Si l'animateur n’a pas d’assistant, il demande à un autre animateur se trouvant à proximité de surveiller son groupe.
Une fois à l’écart avec l’enfant :
- Si l’enfant est calme, l'animateur lui demande d’expliquer les raisons de ses gestes. Si l’enfant refuse de collaborer, l'animateur peut amener l’enfant au responsable du camp de jour. Si l’enfant accepte de collaborer, l'animateur le met à l’écart pour les 10 prochaines minutes afin qu’il réfléchisse aux conséquences de ses actes. Avant de retourner dans son groupe, l’enfant doit s’excuser à l'animateur. En cas de récidive, l'animateur doit immédiatement aller porter l’enfant au responsable du camp de jour qui prendra la relève. Le parent sera avisé dès la première offense.
- Si l’enfant est agité et continue d’insulter l'animateur, celui-ci doit demeurer calme. Il ne sert à rien de crier encore plus fort que l’enfant, cela ne fait qu’empirer la situation. Il doit s’assurer que l’enfant ne devienne pas violent physiquement et qu’il ne soit pas dangereux pour lui ou pour les autres. Si l’enfant se calme, l'animateur peut commencer l’intervention (voir paragraphe plus haut). Si l’enfant ne se calme pas, un assistant ou un autre animateur va chercher le responsable de terrain qui prendra la relève.
Violence physique
- L’enfant sera amené dans le bureau de l’équipe de coordination par le ou la responsable du camp de jour ou le ou la coordonnateur.trice adjoint.e afin d’expliquer ses gestes et d’être informé des conséquences possibles de ses gestes (retrait du groupe, appel aux parents, etc).
- L’enfant pourra ensuite retourner dans son groupe si les membres de l’équipe de coordination jugent qu’il est apte à y retourner.
- Le parent sera avisé de la situation le soir même et une rencontre avec les parents et les membres de l’équipe de coordination du camp de jour peut être planifiée afin de discuter de la situation.
Violence d’un participant envers un autre participant
Violence verbale
- L'animateur amène les deux enfants à l’écart et tente de calmer la situation.
- Une fois à l’écart, l'animateur demande à chacun des enfants de raconter sa version des faits. Laisser parler un enfant à la fois.
- Voir avec eux les autres façons de régler une situation conflictuelle, leur démontrer que la violence n’est pas nécessaire. Les enfants doivent ensuite s’excuser l’un envers l’autre.
- L'animateur décidera de les renvoyer rapidement ou non dans leur groupe dépendamment de l’attitude des enfants.
- Les parents des deux enfants seront prévenus de la situation le soir même.
Violence physique
Dans le cas où deux enfants en viennent aux coups, les animateurs doivent agir rapidement et intelligemment.
- Des animateurs séparent immédiatement les enfants tout en faisant attention de ne pas utiliser une force excessive. D'autres animateurs éloignent les autres enfants du lieu de la bagarre. Un assistant ou un animateur doit aller chercher le responsable du camp de jour ou, en son absence, le coordonnateur adjoint. Si les deux sont absents, un animateur prend en charge la situation.
- Lorsque les deux enfants sont séparés, vérifier s’ils ne sont pas blessés. Si un enfant est blessé, il faut appliquer les soins nécessaires avant de poursuivre l’intervention.
- Mettre les enfants à l’écart (de préférence les amener dans le bureau de l’équipe de coordination).
- Demander aux enfants ce qui s’est passé. Laisser parler seulement un enfant à la fois. L'animateur ou les animateurs des deux jeunes pourront aussi fournir des informations utiles qui aideront à comprendre la situation.
- Voir avec eux les autres façons de régler une situation conflictuelle, leur démontrer que la violence n’est pas nécessaire. Les enfants doivent ensuite s’excuser l’un envers l’autre.
- Le responsable du camp de jour, le coordonnateur adjoint ou l'animateur délégué (si le responsable et le coordonnateur adjoint sont absents) décidera de les renvoyer rapidement ou non dans leur groupe dépendamment de l’attitude des enfants.
- Les parents des deux enfants seront avisés de la situation le soir même.
- En cas de récidive, une rencontre entre les parents et l’équipe de coordination du camp de jour aura lieu.
Violence d’un parent envers un animateur
Violence verbale
Si un parent devient verbalement agressif envers un animateur, la situation doit être
rapidement contrôlée afin d’éviter qu’elle dégénère.
- L'animateur demande au parent de demeurer calme et de s’exprimer calmement. En aucun temps, l'animateur ne doit hausser le ton, cela ne ferait qu’empirer la situation.
- Si la demande n’est pas exaucée, l'animateur coupe immédiatement la conversation et suggère au parent d’aller voir un membre de l’équipe de coordination. Si le parent continue de se montrer agressif, impoli et refuse d’aller voir un responsable ou le coordonnateur adjoint, l'animateur doit aller chercher un membre de l’équipe de coordination. Celui-ci prendra la situation en main.
Violence physique
- Les autorités policières sont immédiatement contactées.
- Si l’une des deux personnes se retrouve en situation de danger, les membres du camp de jour ou autres employés de la Municipalité tenteront de contrôler la situation et de séparer les deux individus si cela ne menace pas leur propre sécurité.
Violence d’un animateur envers un autre animateur
Violence verbale
- Les groupes des deux animateurs impliqués seront immédiatement pris en charge par d’autres moniteurs.
- Les deux animateurs recevront immédiatement un avertissement et seront convoqués à une réunion avec le coordonnateur du camp de jour. Ensemble, ils discuteront de la situation et tenteront de trouver des pistes de solutions. L'animateur victime de violence verbale sera également convoqué pour donner sa version des faits.
- Si la situation persiste et perturbe le bon fonctionnement du camp, la direction du camp de jour rencontrera le ou les animateurs problématiques.
- Des mesures disciplinaires peuvent être prises par la suite (selon les politiques internes de la Municipalité de Boischatel).
Violence physique
- Les groupes des deux animateurs impliqués seront immédiatement pris en charge par d’autres moniteurs.
- Les autres animateurs tentent de contrôler la situation et de séparer les animateurs impliqués dans la bagarre.
- Le coordonnateur ou coordonnateur adjoint ou un responsable se rendront le plus rapidement possible sur place.
- Si une bagarre éclate, les autorités policières seront contactées.
- Les animateurs devront s’expliquer devant le coordonnateur du camp et la direction du service des loisirs et de la culture de Boischatel.
- Des mesures disciplinaires peuvent être prises par la suite (selon les politiques internes de la Municipalité de Boischatel).
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